Notre mobilité du futur se trouve face à de gros défis. La croissance de la population et de l’économie fera augmenter le volume du trafic. En raison de la topographie de notre pays, l’infrastructure de transport ne peut pas être développée à volonté. Pour optimiser l’exploitation de notre infrastructure de transport, il nous faut des solutions digitales. Et pour garantir la capacité des données nécessaires à cette fin, nous ne pourrons pas nous passer de la 5G.

Le 12 janvier 2021, le comité économique ayant lancé le référendum contre le loi sur le CO2 a déposé auprès de la Chancellerie fédérale à Berne le nombre fabuleux de 110'000 signatures. En qualité de membre de ce comité, l’ACS a contribué de manière significative au résultat fulminant qui a permis de faire aboutir ce référendum. Un grand nombre de nos membres s’est rallié à cette cause politique.

L’histoire, tout comme l‘ACS, se souviendra de l’année 2020. Pour nous tous, cette année représentait un défi. Parallèlement, elle nous a apporté également de nombreux aspects positifs. D’une part, elle nous a démontré à quel point le trafic individuel motorisé est indispensable pour l’approvisionnement de notre pays. De l’autre part, la voiture en général a clairement gagné en importance. En ce qui concerne l’ACS, l’année 2020 était placée sous le signe de la digitalisation.

L’ACS est membre du comité d’associations économiques qui, sous la devise « rester raisonnable – l’innovation plutôt que l’activisme », a lancé le référendum contre la nouvelle loi sur le CO2. Le signal de départ pour la collecte des signatures a été donné le 9 octobre 2020. Le délai référendaire est fixé au 14 janvier 2021. Il ne reste donc que peu de temps pour récolter les 50'000 signatures nécessaires. Mais une chose est sure : chaque signature compte !

Dans les chambres fédérales, la session de l’été passée a été dominée par les débats sur la révision totale de la loi sur le CO2 pour la période postérieure à 2020. Lors de la première tentative, en décembre 2018, le camp bourgeois était encore majoritaire et a pu s’opposer aux revendications d’augmentation massive du prix des carburants. Aujourd’hui, un an et demi plus tard, c’est une toute autre histoire. Au Conseil, toutes les revendications concernant des taxes supplémentaires ont trouvé une majorité.

Dans le débat sur le climat, voire le débat autour de la réduction des émissions de CO2 en vue d’atteindre les objectifs de l’accord de Paris, l’électricité semble se profiler comme l’atout majeur. Depuis quelques années, nous avons de plus en plus recours à l’électricité. Voitures, bicyclettes et scooters électriques ont envahi nos villes à un rythme effréné.

Le 20 octobre 2019 est un dimanche électoral. Ce n’est donc de loin pas un dimanche ordinaire. Avec les élections aux Chambres fédérales, les cartes en matière de politique des transports sont redistribuées pour les quatre années à venir à Berne. Nous sommes tous concernés, notamment quand il s’agit du transport individuel motorisé.

Les camps de conduite pour jeunes de l’ACS, appelés affectueusement JUFALA (Jugendfahrlager), ont une tradition décennale. Depuis environ 50 ans déjà, ils ont lieu durant les vacances d’été. Le programme a été continuellement mis à jour et étoffé.

Avec l’arrivée du printemps, elles refont leur apparition : les voitures appelées Classic Cars. Les magnifiques Young- et Oldtimers font battre nos cœurs et rappellent des souvenirs d’enfance à beaucoup d‘entre nous. Bien plus que des véhicules suscitant la nostalgie, ils sont les témoins de notre histoire contemporaine.

Les besoins en capacité de nos infrastructures de transport augmentent, tant pour la route que pour le rail. Le Parlement vient de poser les jalons pour l’expansion de l’infrastructure au cours des 20 prochaines années. La Suisse dispose de l’un des meilleurs réseaux de transport au monde. Mais cette augmentation de la capacité sera-t-elle suffisante au-delà de 2030 ?

La 89e édition du Salon de l’auto de Genève aura lieu du 7 au 17 mars prochain. Pour l’ACS, il représente l’événement le plus important de l’année, celui qui lui procure la plus grande plateforme de présentation destinée au grand public. Le Salon genevois est l’un des plus importants Salons automobiles au monde. Mais à l’ère de la numérisation, une question légitime doit être posée : quel avenir pour le Salon de l’auto de Genève ?

L’année s’achève bientôt, et il est temps de la passer brièvement en revue. Pour l’ACS, 2018 a été une nouvelle année passionnante, avec un grand volume d’activités et marquée par un nouveau départ dans le domaine des prestations assistance. De plus, nous avons travaillé d’arrache-pied pour élargir davantage les services que nous proposons à nos membres.

Dans une interview accordée récemment, Jürg Röthlisberger, directeur de l‘Office fédéral des routes (OFROU), a mentionné que l’OFROU examinait la possibilité de développer une partie de l’A1 sur deux niveaux. Cette idée, peu conventionnelle à première vue, mérite un examen plus approfondi.

Le 10 juin 2018, Zurich s’est inscrit dans l’histoire. Le E-Prix de Zurich était la première course sur circuit fermé organisée en Suisse depuis 64 ans. Un événement sportif passionnant, doté d’un programme-cadre varié, a transformé l'événement en une véritable fête populaire.

Au cours des dernières semaines, le Tribunal fédéral a rendu quelques décisions concernant l’introduction de la limite 30 km/h sur les principaux axes routiers, fondées sur la protection contre le bruit. Il s’agit notamment de verdicts suite aux voies de recours à Bâle, Zoug et Zurich, toutes écartées carrément par le Tribunal fédéral. Ces verdicts constituent-ils alors un blanc-seing pour les villes qui souhaitent introduire massivement une limitation de vitesse à 30 km/h ?

Après la décision du tribunal administratif fédéral de Leipzig (DE), autorisant l’interdiction de circuler dans les villes allemandes pour les véhicules diesel, nos politiciens de l’environnement demandent de telles interdictions également dans les villes suisses.

Depuis le 1er janvier 2018, Tom Lüthi, pilote de MotoGP, est l’ambassadeur de l’ACS. Le vice champion du monde de moto s’intéresse également au monde des quatre-roues, et plus largement à la mobilité en général. Une fois de plus également, le Salon de l’auto de Genève ouvre ses portes sous le signe de l’amour pour la mobilité.